Mais non chers lecteurs ! Ce n’est pas parce que je suis fatigué de recenser les innombrables faillites et gamelles d’Hidalgo que mon orthographe vacille.
C’est qu’il y a invasion de rongeurs dans les préaux et jusque dans les toilettes des écoles où nos chères têtes blondes, comme on pouvait le dire autrefois, reçoivent le peu d’éducation qui leur permettra de supporter la bureaucratie qui les étouffera et le préchi précha qui les endoctrinera dans les prochaines décennies. Il faut que rien ne change jusqu’à ce que tout pète : c’est Lampedusa corrigé par Macron. Mais, là aussi, on doit faire attention, il s’agit de Lampedusa l’auteur et non l’île envahie de clandestins.
Bon … il y a donc pléthore de visiteurs gris et moustachus dans les écoles, notamment dans le Nord de Paris où une d’entre elle, “La Guadeloupe” dans le XVIIIe arrondissement, voit ses salles de classe, coin lecture, cour de récré, toilettes et autres lieux de malaisance régulièrement envahis. Les agents ont du travail : chaque matin il faut évacuer leurs crottes. Les parents et les enseignants ont décidé de manifester leur mécontentement en se réunissant, vu qu’à l’Hôtel-de-ville on ne fait rien.
Ben quoi ! Lutter contre les rats est moins important que lutter contre les bagnoles et les tribunaux administratifs ! Madame Hidalgo a ses priorités voyez-vous.
Les bobos ont beau être ouverts à l’autre et écoloconscients, quand il s’agit de sectoriser leurs gamins ou de supporter les rongeurs, ils finissent par retrouver un semblant d’instinct territorial et vouloir se débarrasser des intrus. Au diable le discours antispéciste et la protection animale, éliminez-les tous crient-ils. Mais Hidalgo n’est bonne à rien, même pas à dératiser efficacement. C’est une vraie plaie que cette mairesse. La première des dix plaies modernes de Paris. Les rats ne viennent qu’après.
Et si l’on positivait ? Si l’on en profitait pour introduire de la science naturelle, de la dissection et du tir à la carabine dans les programmes du primaire ? Il faut se saisir de toute opportunité. Puisque la ville n’a plus sou en caisse, les rats sont une magnifique occasion d’éduquer nos enfants à moindre coût. Dans les temps de guerre tribale qui s’annonce, ces exercices paramilitaires seraient bien plus efficaces et moins dispendieux que le service civique de Macron.
A Paris, plus que partout ailleurs, on préfère rire plutôt que désespérer. Et n’oublions pas, fidèles aux grandes figures de la gauche, qu’à Montmartre, il y a à peine cent-cinquante ans, au moment de la Commune, on aurait été bien contents d’avoir tous ces rats à croquer.
Crasse, congestion, mépris de la loi, dette, faillite, insalubrité et propagande : quelle belle municipalité que voilà !
C’est qu’il y a invasion de rongeurs dans les préaux et jusque dans les toilettes des écoles où nos chères têtes blondes, comme on pouvait le dire autrefois, reçoivent le peu d’éducation qui leur permettra de supporter la bureaucratie qui les étouffera et le préchi précha qui les endoctrinera dans les prochaines décennies. Il faut que rien ne change jusqu’à ce que tout pète : c’est Lampedusa corrigé par Macron. Mais, là aussi, on doit faire attention, il s’agit de Lampedusa l’auteur et non l’île envahie de clandestins.
Bon … il y a donc pléthore de visiteurs gris et moustachus dans les écoles, notamment dans le Nord de Paris où une d’entre elle, “La Guadeloupe” dans le XVIIIe arrondissement, voit ses salles de classe, coin lecture, cour de récré, toilettes et autres lieux de malaisance régulièrement envahis. Les agents ont du travail : chaque matin il faut évacuer leurs crottes. Les parents et les enseignants ont décidé de manifester leur mécontentement en se réunissant, vu qu’à l’Hôtel-de-ville on ne fait rien.
Ben quoi ! Lutter contre les rats est moins important que lutter contre les bagnoles et les tribunaux administratifs ! Madame Hidalgo a ses priorités voyez-vous.
Les bobos ont beau être ouverts à l’autre et écoloconscients, quand il s’agit de sectoriser leurs gamins ou de supporter les rongeurs, ils finissent par retrouver un semblant d’instinct territorial et vouloir se débarrasser des intrus. Au diable le discours antispéciste et la protection animale, éliminez-les tous crient-ils. Mais Hidalgo n’est bonne à rien, même pas à dératiser efficacement. C’est une vraie plaie que cette mairesse. La première des dix plaies modernes de Paris. Les rats ne viennent qu’après.
Et si l’on positivait ? Si l’on en profitait pour introduire de la science naturelle, de la dissection et du tir à la carabine dans les programmes du primaire ? Il faut se saisir de toute opportunité. Puisque la ville n’a plus sou en caisse, les rats sont une magnifique occasion d’éduquer nos enfants à moindre coût. Dans les temps de guerre tribale qui s’annonce, ces exercices paramilitaires seraient bien plus efficaces et moins dispendieux que le service civique de Macron.
A Paris, plus que partout ailleurs, on préfère rire plutôt que désespérer. Et n’oublions pas, fidèles aux grandes figures de la gauche, qu’à Montmartre, il y a à peine cent-cinquante ans, au moment de la Commune, on aurait été bien contents d’avoir tous ces rats à croquer.
Crasse, congestion, mépris de la loi, dette, faillite, insalubrité et propagande : quelle belle municipalité que voilà !